1) avoir un BAC + 9

2) ne pas avoir peur des araignées (les grosses, marron, avec des poils)

 3) aimer les coups de soleil

 4) aimer son métier (parce qu'il n'est pas très bien payé!)

5) porter des chapeaux de paille 

 6) apprécier d'avoir de la terre sous les ongles

 7) être en bonne condition physique

 8) être capable de diriger une équipe

Jâd, Ossmane, Mabrissa

Sur le site de Gruissan, nous avons pu échanger avec les archéologues, et nous avons collecté beaucoup d'informations sur leur métier.

D'abord, être archéologue est un travail très physique, car ils doivent travailler dans la chaleur et le froid  ; ils arrêtent quand même de fouiller s'il pleut beaucoup, pour ne pas abîmer certains objets.

De nombreuses années d'études sont demandées, mais le salaire est bas (environ 1600 euros pour une campagne de fouille d'un mois).

Les archéologues creusent le sol couche par couche et identifient l'époque des objets en fonction de la couche de terre dans laquelle l'objet se trouve.

Le fait que les fouilleurs viennent en tant que bénévoles nous a surpris : ce sont des passionnés! Ce qui nous a intéressés, c'est quand ils nous ont appris leur façon de travailler : ils enlèvent les grosses couches de terre avec une pelle mécanique, et continuent leur travail avec des outils plus petits.

Nolwen, Réhane, et cetera.

Le site a été découvert par l'ancien propriétaire des terres ; ces terres appartiennent maintenant à la mairie, qui les a rachetées au propriétaire contre des hectares en plus. Les fouilles ont commencé en 1999 par le GRASG et la DRAC de Montpellier et se sont poursuivies par le CNRS en 2011 ; elles reprennent tous les ans depuis. Elles ont révélé un grand bâtiment central, et d'autres plus petits (en particulier des thermes que l'on voit sur la photo). On a aussi découvert des citernes, que l'archéologue nous a présentées. Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.patrimoinegruissan.fr : le site est ouvert aux visiteurs en juillet-août et également pour les journées du patrimoine.

Adeline, Célia, Carla, Névéna, Elhora, David, Yannis, Dorian, Hanae

Pour ceux qui n'ont pas pu assister à la réunion, voici les réponses aux questions qui ont été posées :

Combien d'élèves participent au voyage?
- Cinquante élèves, de la 5ème à la 3ème.

Combien y a-t-il d'accompagnateurs?
- Quatre : M. Marcon, M. Pascal, Mme Duthilleul, Mme Marissal. Pour cinquante adolescents, quatre accompagnateurs sont le nombre recommandé.

Où le groupe est-il hébergé?
- Au Centre International de Séjour qui se trouve dans le centre de Narbonne, au pied de la cathédrale. Vous pouvez voir quelques photos ici.
Les draps et le linge de toilette sont-ils fournis?
- Les draps sont fournis, mais pas le linge de toilette : apportez vos serviettes, peignoirs, gants...

Pour les élèves de 3ème qui partent, comment procéder à la restitution des fiches d'orientation?
Mme Hourdequin a proposé de téléphoner aux parents pour convenir d'un rendez-vous afin de signer cette fiche.

Pour la cantine, peut-on demander le remboursement des repas qui ne seront pas consommés ?
- Oui, en remplissant une remise d'ordre obtenue à l'intendance.

Voici le document qui a été distribué et dont je tiens des copies à disposition des élèves qui ne l'ont pas eu :

Doc_r_union_2014

Enfin, pour d'autres questions, vous pouvez me joindre en cliquant sur le lien "contactez l'auteur" du blog.

Clair et agréablement illustré, pour une première approche de la civilisation grecque.

Passionnant et très riche, parfois difficile, à recommander à vos parents!

Il n'est pas certain que la crème pour le visage vieille de 2000 ans que les archéologues ont découverte à Londres dans les vestiges d'un temple romain ait été utilisée dans un but cosmétique... peut-être était-ce un médicament, ou une sorte de peinture dont s'enduisaient les prêtres pour certains rituels.

Quoi qu'il en soit, la crème a été incroyablement bien conservée, au point qu'on voit encore des traces de doigts! Sa composition est encore en cours d'analyse. (source)

                                                                   Cher .......

   En pensant à toi je souffre de céphalées, tu prends toute la place dans mon coeur, je ne pourrai jamais t'évacuer car mon intuition est la bonne : tu n'as pas d'antagoniste.

   Je pourrais te raconter tellement de choses ineffables qu'un torrent se formerait.

   Un métronome ne pourrait pas mesurer l'amour que j'ai pour toi car cet amour est infini.

   Cette épître est anonyme mais elle a été créée par les turbulences de mon coeur.

Chère Hélène,

Bien que nos deux peuples soient antagonistes, je voudrais te dire que ton nom crée des turbulences dans mon pauvre petit cœur.

Je voudrais t’offrir des bouquets d’Héliotropes, te dire des mots ineffables, c’est pour cela que je t’écris cette épistole. Je sais que tu es réticente à abandonner Ménélas, mais cet homme me crée des céphalées.

Je suis sûr que cet homme est anthropophage et qu’il ne te mérite pas. Il pollue ta vie comme un poison rongeant les blanches fleurs des aubépines.

Mes larmes formeront un torrent si tu ne m’acceptes pas, ou je t’oublierai vite, cela dépend.

Après mille réflexions et quelques verres d’hydromel, je crois que je t’enlèverai, personne ne le remarquera.

Prépare-toi .

Pâris